
Une même pratique, mais deux visions qui s’opposent. Il y a d’un côté les mordus de sport et de performance, ceux qui ne jugent que par le chronomètre et les kilomètres avalés. Et les autres, qui pensent paresse et jurent que jamais on ne les y prendra.
Le vélo à ses partisans comme ses détracteurs. Ou plutôt devrions-nous dire, « avait », car voilà qu’aujourd’hui les réunit le vélo électrique. C’est le parfait compromis entre la pratique de l’effort à deux roues et à l’inverse, d’une assistance électrique à moindre effort.
Mais comment, nous répondrez-vous, un vélo stimulé par un moteur (voire un double moteur, à l’exemple du modèle LANKELEISI X3000 MAX) peut-il se conjuguer à la performance sportive ? Nous y rétorquerons en avançant un nom, celui de Jérôme Gilloux, un athlète français qui n’est nul autre que le champion du monde en titre de VTTAE (Vélo tout-terrain à assistance électrique). Cocorico.
Mais avant de penser palmarès et maillot arc-en-ciel distinctif des champions du monde de l’univers du cyclisme professionnel, il existe bien des avantages à pratiquer du vélo électrique. Ils sont tout à la fois économiques, écologiques, sociaux ou d’ordre physique et psychologique. Le vélo fait du bien à la tête et au corps et quand il est doublé d’un moteur, il devient accessible au plus grand nombre.
A l’heure où les carburants augmentent, ou les voitures sont progressivement exclues des centres urbains au bénéfice des transports plus vertueux, ou la question de l’environnement et de notre empreinte carbone se fait chaque jour un peu plus pressante, le vélo électrique s’impose comme la meilleure alternative à nos déplacements du quotidien. C’est clairement la raison première de son succès grandissant.
De la technologie qui progresse et des prix qui s’abaissent
Avec un avantage désormais que l’évolution rapide du matériel. L’autonomie des batteries, pendant un temps source de crainte des utilisateurs, s’est considérablement accrue. Beaucoup dépassent aisément les 80 kilomètres. La praticité elle aussi évolue, à l’exemple du spécialiste Lankeleisi qui propose dans sa large gamme de modèles son velo electrique pliant.
Quant aux prix, là encore l’avancée est notable, le marché est devenu bien plus accessible aux budgets les plus modestes. De plus, il existe des versions adaptées à tous les usages : urbains, hors des villes ou des sentiers battus et les vélos modernes acceptent toutes sortes d’accessoires, comme un porte-bagage, de plus légères sacoches, un support de téléphone, ou autres rétroviseurs… En outre, il est parfois possible d’obtenir des subventions publiques, qui visent à stimuler la pratique.
Le boom du VAE dépasse par ailleurs les frontières de l’Hexagone. Partout en Europe, autant qu’en Asie, aux États-Unis ou en Amérique du Sud, le vélo électrique connaît une croissance à deux chiffres, stimulée par les politiques écologiques, l’urbanisation rapide et une volonté globale de repenser la mobilité.
En 2025, le vélo électrique combine écologie, économie, efficacité et liberté de mouvement. C’est cette polyvalence qui en fait aujourd’hui le moyen de transport roi — pas seulement pour les passionnés de deux-roues, mais pour une population urbaine de plus en plus large, consciente et connectée.
Trois modèles tendances de vélos électriques
– Le LANKELEISI X3000 MAX, à système de double moteur brushless 1000W à l’avant et à l’arrière, pour une puissance combinée de 2000W et un couple de 95 Nm. Sa batterie lithium Samsung 48V 20Ah, dotée de cellules 21700 est de haute capacité.
– Le LANKELEISI GOLF-X. Équipé d’un moteur arrière sans balais de 48V 1000W délivrant un couple maximal de 85 Nm, il est à l’aisance et idéal pour les espaces urbains, dans les montées, les démarrages et les trajets du quotidien.
– Le LANKELEISI MG800Max. Avec son double moteur et ses pneus fat de 26 pouces, c’est le modèle de franchissement par excellence, qui s’adapte à merveille aux baroudeurs et amateurs de grands espaces sauvages. Avec sa batterie Samsung 48V 20Ah à cellules 21700, LANKELEISI MG800Max avale de grandes distances.